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GDR 3449 réseau écologie des interactions durables

logo_reidLe réseau écologie des interactions durables (REID), qui existe de façon informelle depuis 1993, vient d’acquérir en 2011 le statut de GDR co-accrédité entre le CNRS et l’INRA. Ce GDR 3449 REID est codirigé par Thierry Rigaud (CNRS, Biogéosciences) et Flavie Vanlerberghe-Masutti (INRA, CBGP, Montpellier). Ce réseau regroupe et structure la communauté nationale des chercheurs travaillant dans le champ disciplinaire de la biologie des populations des interactions durables (plus de 350 membres), répartie dans 25 laboratoires (universitaires, CNRS, INRA, IRD, MNHN…)

 

Les interactions durables sont les interactions interspécifiques qui durent à la fois dans le temps évolutif à l’échelle des espèces, mais aussi au niveau de la vie de l’organisme à l’échelle individuelle. Ce sont typiquement les interactions hôte-parasite ou hôte-mutualiste.

 

 

 

Objectifs

Le but du REID est de créer un espace d’émulation au sein de la communauté concernée, de manière à :

(i) développer des collaborations entre chercheurs ou équipes, ponctuelles ou à long terme, mais toujours concrètes ;

(ii) faire émerger des thématiques nouvelles dans le domaine des interactions durables de manière à rester en pointe dans ce domaine.

 

Afin d’y parvenir, deux modes d’actions sont mis en œuvre. Le premier est la création de groupes de travail sur des thèmes précis communs à plusieurs équipes. Ces thèmes sont les suivants : évolution virale, immuno-écologie, interactions plantes-champignons phytopathogènes, interactions procaryotes–eucaryotes, écologie des interactions durables lors des opérations de lutte biologique, tiques et maladies à tiques, virulence et résistance chez les invertébrés. Ces groupes réunissent des ateliers thématiques et coordonnent les collaborations entre chercheurs. Ils peuvent être amenés à évoluer, en fonction des propositions des membres du GDR, mais également en fonction des avancées scientifiques. Une perspective est par exemple d’élargir ces groupes aux thématiques de l’écologie des communautés parasitaires ou symbiotiques.

Le second mode d’action est une réunion annuelle sous forme d’un colloque mono-session, qui selon les années rassemble de 100 à 250 membres du réseau, et où une ou plusieurs personnalités étrangères sont invitées en conférence plénière. Ce colloque permet de communiquer les principaux résultats obtenus en cours d’année, mais également de faire un bilan de l’activité des groupes de travail. C’est également à l’occasion de ce colloque que de nouveaux groupes peuvent se constituer, ou disparaître en fonction de l’évolution de la recherche.

 

Pour en savoir plus, n’hésitez pas à consulter le site du GDR 3449 REID.

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Les interactions durables sont les interactions interspécifiques qui durent à la fois dans le temps évolutif à l’échelle des espèces, mais aussi au niveau de la vie de l’organisme à l’échelle individuelle. Ce sont typiquement les interactions hôte-parasite ou hôte-mutualiste.

Objectifs

Le but du REID est de créer un espace d’émulation au sein de la communauté concernée, de manière à :

(i) développer des collaborations entre chercheurs ou équipes, ponctuelles ou à long terme, mais toujours concrètes ;

(ii) faire émerger des thématiques nouvelles dans le domaine des interactions durables de manière à rester en pointe dans ce domaine.

Afin d’y parvenir, deux modes d’actions sont mis en œuvre. Le premier est la création de groupes de travail sur des thèmes précis communs à plusieurs équipes. Ces thèmes sont les suivants : évolution virale, immuno-écologie, interactions plantes-champignons phytopathogènes, interactions procaryotes–eucaryotes, écologie des interactions durables lors des opérations de lutte biologique, tiques et maladies à tiques, virulence et résistance chez les invertébrés. Ces groupes réunissent des ateliers thématiques et coordonnent les collaborations entre chercheurs. Ils peuvent être amenés à évoluer, en fonction des propositions des membres du GDR, mais également en fonction des avancées scientifiques. Une perspective est par exemple d’élargir ces groupes aux thématiques de l’écologie des communautés parasitaires ou symbiotiques.

Le second mode d’action est une réunion annuelle sous forme d’un colloque mono-session, qui selon les années rassemble de 100 à 250 membres du réseau, et où une ou plusieurs personnalités étrangères sont invitées en conférence plénière. Ce colloque permet de communiquer les principaux résultats obtenus en cours d’année, mais également de faire un bilan de l’activité des groupes de travail. C’est également à l’occasion de ce colloque que de nouveaux groupes peuvent se constituer, ou disparaître en fonction de l’évolution de la recherche.

Pour en savoir plus, n’hésitez pas à consulter le site du GDR 3449 REID.

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