VEGREENE (VEgetation GREEness and NEbulosity) (2014)
Financé sur l’année 2014 par le CNES, le projet VEGREENE propose d’analyser la sensibilité de la végétation au climat en Afrique Centrale via l’entrée nébulosité. En effet, la plupart des études antérieures s’attachant à décrire, comprendre et modéliser l’impact présent et futur du climat sur la forêt tropicale se focalisent prioritairement sur les précipitations et la T°, négligeant une étude précise de la nébulosité et des possibles impacts de ses variations diurnes, saisonnières et interannuelles. En outre, il est reconnu que les nuages sont extrêmement mal représentés dans les modèles de climat. Or si l’ensemble des études portant sur les effets du changement climatique sur les forêts tropicales évoquent les incertitudes liées aux projections de précipitations et T°, l’inadéquate modélisation et projection future des nuages peut être un facteur tout aussi déterminant. La disponibilité de données « nuage » haute répétitivité Météosat Seconde Génération (MSG) non exploitées sur l’Afrique Centrale est donc une opportunité pour étudier ces relations entre nébulosité et activité photosynthétique mais est aussi une opportunité de documenter la nébulosité en elle même.
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Financé sur l'année 2014 par le CNES, le projet VEGREENE propose d'analyser la sensibilité de la végétation au climat en Afrique Centrale via l'entrée nébulosité. En effet, la plupart des études antérieures s'attachant à décrire, comprendre et modéliser l'impact présent et futur du climat sur la forêt tropicale se focalisent prioritairement sur les précipitations et la T°, négligeant une étude précise de la nébulosité et des possibles impacts de ses variations diurnes, saisonnières et interannuelles. En outre, il est reconnu que les nuages sont extrêmement mal représentés dans les modèles de climat. Or si l'ensemble des études portant sur les effets du changement climatique sur les forêts tropicales évoquent les incertitudes liées aux projections de précipitations et T°, l'inadéquate modélisation et projection future des nuages peut être un facteur tout aussi déterminant. La disponibilité de données "nuage" haute répétitivité Météosat Seconde Génération (MSG) non exploitées sur l'Afrique Centrale est donc une opportunité pour étudier ces relations entre nébulosité et activité photosynthétique mais est aussi une opportunité de documenter la nébulosité en elle même.