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Thèse de Sarah Marion

Etiquette(s) : thèse climatologie

Exemple de données d'entrée pour SIRANE : géométrie du bâtiment et réseau de circulation (arcs et nœuds)La pollution aux particules fines en Bourgogne Franche-Comté : variabilités à très haute résolution spatio-temporelle, modélisation, scénarisation

Financement : bourse doctorale

Début de la thèse : octobre 2022

Direction : Nadège Martiny

 

Résumé

La surveillance et la prévention de la qualité de l’air liée à la présence de particules en suspension dans l’air ambiant sont de véritables enjeux de santé publique, y compris dans les villes moyennes européennes. L’objectif de cette thèse est double : (i) relever le défi de la caractérisation de la pollution aux particules fines à très haute résolution spatio-temporelle en milieu urbain complexe en se basant sur des méthodologies originales de mesures in-situ et de modélisation numérique ; Micro-capteur QameleO installé à Dijonet (ii) améliorer notre compréhension actuelle des variabilités spatio-temporelles des concentrations en PM10, PM2.5 et PM1.0 à l’échelle d’une rue, d’un quartier et d’une ville. L’approche proposée est comparative, incluant 2 terrains d’étude, situés en Bourgogne Franche-Comté, et aux caractéristiques en qualité de l’air bien différenciées : la ville de Dijon, dont l’indice de qualité de l’air est qualifié de « bon » à « moyen » et Montbéliard, dont l’indice de qualité de l’air est qualifié de « bon » à « mauvais pour les personnes sensibles ». Les recherches seront menées en 3 volets. Le premier volet sera dédié au traitement et à l’analyse de mesures in-situ acquises dans les 2 villes. Le deuxième volet visera à modéliser les polluants particulaires en surface à l’échelle décamétrique, avec un focus sur les PM1.0, particulièrement toxiques et cependant encore mal mesurés et documentés à l’heure actuelle. Le troisième volet, qui repose sur les 2 précédents, consistera à caractériser et à mieux comprendre la variabilité spatio-temporelle des particules fines à très hautes résolutions à Dijon et Montbéliard. Ce travail constituera une base solide pour scénariser ce que sera la qualité de l’air dans les prochaines décennies.

 

Mots clés

qualité de l’air ; particules fines ; variabilités spatio-temporelles ; réseaux de mesures low-cost ; modélisation très haute résolution

 

Comité de suivi de la thèse

Suzanne Crumeyrolle, Laboratoire d’optique atmosphérique (LOA), université de Lille
Nicolas Marilleau, UMR UMMISCO, Institut de recherches pour le développement, Bondy

extrait:
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titre:
La pollution aux particules fines en Bourgogne Franche-Comté : variabilités à très haute résolution spatio-temporelle, modélisation, scénarisation
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octobre 2022
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Marion
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Exemple de données d'entrée pour SIRANE : géométrie du bâtiment et réseau de circulation (arcs et nœuds)La pollution aux particules fines en Bourgogne Franche-Comté : variabilités à très haute résolution spatio-temporelle, modélisation, scénarisation

Financement : bourse doctorale

Début de la thèse : octobre 2022

Direction : Nadège Martiny

 

Résumé

La surveillance et la prévention de la qualité de l’air liée à la présence de particules en suspension dans l’air ambiant sont de véritables enjeux de santé publique, y compris dans les villes moyennes européennes. L’objectif de cette thèse est double : (i) relever le défi de la caractérisation de la pollution aux particules fines à très haute résolution spatio-temporelle en milieu urbain complexe en se basant sur des méthodologies originales de mesures in-situ et de modélisation numérique ; Micro-capteur QameleO installé à Dijonet (ii) améliorer notre compréhension actuelle des variabilités spatio-temporelles des concentrations en PM10, PM2.5 et PM1.0 à l’échelle d’une rue, d’un quartier et d’une ville. L’approche proposée est comparative, incluant 2 terrains d’étude, situés en Bourgogne Franche-Comté, et aux caractéristiques en qualité de l’air bien différenciées : la ville de Dijon, dont l’indice de qualité de l’air est qualifié de « bon » à « moyen » et Montbéliard, dont l’indice de qualité de l’air est qualifié de « bon » à « mauvais pour les personnes sensibles ». Les recherches seront menées en 3 volets. Le premier volet sera dédié au traitement et à l’analyse de mesures in-situ acquises dans les 2 villes. Le deuxième volet visera à modéliser les polluants particulaires en surface à l’échelle décamétrique, avec un focus sur les PM1.0, particulièrement toxiques et cependant encore mal mesurés et documentés à l’heure actuelle. Le troisième volet, qui repose sur les 2 précédents, consistera à caractériser et à mieux comprendre la variabilité spatio-temporelle des particules fines à très hautes résolutions à Dijon et Montbéliard. Ce travail constituera une base solide pour scénariser ce que sera la qualité de l’air dans les prochaines décennies.

 

Mots clés

qualité de l'air ; particules fines ; variabilités spatio-temporelles ; réseaux de mesures low-cost ; modélisation très haute résolution

 

Comité de suivi de la thèse

Suzanne Crumeyrolle, Laboratoire d’optique atmosphérique (LOA), université de Lille
Nicolas Marilleau, UMR UMMISCO, Institut de recherches pour le développement, Bondy

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