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thèse d’Asmat Ullah

Etiquette(s) : thèse climatologie

Descripteurs intra-saisonniers de la saison des pluies en Afrique australe : observations et modélisation à moyenne échelle

débutée en décembre 2018

financement : I-SITE Junior Fellowship IMVULA

directeurs : Benjamin Pohl et Julien Pergaud

Soutenue le 15 décembre 2022

 

Résumé

Les descripteurs non saisonniers des précipitations (c.-à-d. dates de début et de fin, nombre et durée des périodes sèches et humides, nombre de jours de pluie et quantités associées) sont des caractéristiques essentielles de la variabilité climatique dans la plupart des régions tropicales. Ils sont aussi un vision pertinente de la variabilité climatique pour évaluer ses impacts sur les sociétés et agronomie et hydrologie analogues à l’environnement. Malgré leur importance, ils encore mal documentés en Afrique australe, une région semi-aride sujette à de fortes variabilité des précipitations dans le temps et dans l’espace, et où l’eau est souvent le facteur limitant facteur de rendement agronomique. Cette thèse de doctorat tente de combler cette lacune en mettant l’accent sur lors d’événements météorologiques intra-saisonniers à fort impact. En utilisant des observations in situ, la première partie de cette thèse tentera d’analyser les périodes intra-saisonnières associées à des impacts élevés, tels que les extrêmes climatiques (soit sécheresse ou fortes précipitations). L’accent sera mis sur leur probabilité et leur association avec les modes de variabilité climatique à grande échelle connus pour influencer la région de l’Afrique australe. Cette première étape consistera également à sélectionner quelques cas d’étude qui seront modélisés dans la deuxième étape du travail. L’étape 2 utilisera des réanalyses globales ERA-5 globales à la pointe de la technologie pour forcer la modèle de domaine limité, à savoir le système de recherche et de prévision météorologiques (WRF), sur l’Afrique australe et ses environs, à forte densité spatiale résolution (modèle de résolution de nuage : CRM). Le but ici est de quantifier la valeur ajoutée de la procédure de réduction d’échelle, mais aussi les biais de la mondialisation et modèles régionaux, ainsi que leur variabilité interne. À cette fin, super-ensemble des simulations seront effectuées à l’aide d’ensembles mondiaux et régionaux.

 

Composition du jury

Chris Reason, université de Cape Town (Afrique du Sud) – rapporteur
Willem Landman, université de Pretoria (Afrique du Sud) – rapporteur
Bastien Dieppois, université de Coventry (Royaume-Uni) – examinateur
Pierre Camberlin, université de Bourgogne – président du jury
Benjamin Pohl, laboratoire Biogéosciences – directeur de thèse
Julien Pergaud, laboratoire Biogéosciences – codirecteur de thèse

extrait:
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titre:
Descripteurs in-saisonniers de la saison des pluies en Afrique australe : observations et modélisation à moyenne échelle
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décembre 2018
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Ullah
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Descripteurs intra-saisonniers de la saison des pluies en Afrique australe : observations et modélisation à moyenne échelle

débutée en décembre 2018

financement : I-SITE Junior Fellowship IMVULA

directeurs : Benjamin Pohl et Julien Pergaud

Soutenue le 15 décembre 2022

 

Résumé

Les descripteurs non saisonniers des précipitations (c.-à-d. dates de début et de fin, nombre et durée des périodes sèches et humides, nombre de jours de pluie et quantités associées) sont des caractéristiques essentielles de la variabilité climatique dans la plupart des régions tropicales. Ils sont aussi un vision pertinente de la variabilité climatique pour évaluer ses impacts sur les sociétés et agronomie et hydrologie analogues à l'environnement. Malgré leur importance, ils encore mal documentés en Afrique australe, une région semi-aride sujette à de fortes variabilité des précipitations dans le temps et dans l'espace, et où l'eau est souvent le facteur limitant facteur de rendement agronomique. Cette thèse de doctorat tente de combler cette lacune en mettant l'accent sur lors d'événements météorologiques intra-saisonniers à fort impact. En utilisant des observations in situ, la première partie de cette thèse tentera d'analyser les périodes intra-saisonnières associées à des impacts élevés, tels que les extrêmes climatiques (soit sécheresse ou fortes précipitations). L'accent sera mis sur leur probabilité et leur association avec les modes de variabilité climatique à grande échelle connus pour influencer la région de l'Afrique australe. Cette première étape consistera également à sélectionner quelques cas d'étude qui seront modélisés dans la deuxième étape du travail. L'étape 2 utilisera des réanalyses globales ERA-5 globales à la pointe de la technologie pour forcer la modèle de domaine limité, à savoir le système de recherche et de prévision météorologiques (WRF), sur l'Afrique australe et ses environs, à forte densité spatiale résolution (modèle de résolution de nuage : CRM). Le but ici est de quantifier la valeur ajoutée de la procédure de réduction d'échelle, mais aussi les biais de la mondialisation et modèles régionaux, ainsi que leur variabilité interne. À cette fin, super-ensemble des simulations seront effectuées à l'aide d'ensembles mondiaux et régionaux.

 

Composition du jury

Chris Reason, université de Cape Town (Afrique du Sud) - rapporteur
Willem Landman, université de Pretoria (Afrique du Sud) - rapporteur
Bastien Dieppois, université de Coventry (Royaume-Uni) - examinateur
Pierre Camberlin, université de Bourgogne - président du jury
Benjamin Pohl, laboratoire Biogéosciences - directeur de thèse
Julien Pergaud, laboratoire Biogéosciences - codirecteur de thèse

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15 décembre 2022
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